Entre janvier et septembre 2025, Orezone Bomboré, située au Burkina Faso, a produit 2 tonnes et 476 Kg (79 607 onces) d’or. Une production en baisse par rapport à la même période en 2024 où elle a affiché 2 tonnes et 558 Kg (82 244 onces) d’or.
L’information a été publiée ce 12 novembre 2025 à Vancouver par Orezone Gold Corporationqui exploite la mine pour annoncer ses résultats opérationnels et financiers au 30 septembre 2025. Orezone Bomboré a bénéficié d’un bon prix de l’or durant ces 3 semestres de l’année puisque sa production a été vendue à un prix moyen de 3 166 dollars l’once contre 2 280 dollars l’once en 2024. La hausse du prix de l’or a été atténuée par la hausse des coûts de production durant les 9 premiers de l’année 2025 pour se situer à 1 709 dollars l’once contre 1 519 dollars l’once une année plutôt.
Les ventes ont généré des revenus de145 milliards FCFA (246 millions de dollars) en 2025 contre 63 milliards FCFA (105 millions de dollars) en 2024.
Les résultats du 3 ème trimestre 2025 indique que Orezone Bomboré SA a réalisé un chiffre d’affaires d’environ 40 milliards FCFA (68,9 millions de dollars) provenant de la vente de 633 Kg (20 350 onces) à un prix moyen de 3 375 dollars l’once.
Patrick Downey, président et chef de la direction, a commenté ce résultat : « Le troisième trimestre a été marqué par de bénéfices positifs, grâce à la hausse des prix de l’or réalisés sur nos ventes. Nous prévoyons que la production d’or du quatrième trimestre sera nettement améliorée.
Les activités de mise en service de la nouvelle usine de traitement ont commencé avec l’arrivée du minerai prévue plus tard ce mois-ci et la première production d’or au début du mois de décembre. Il s’agit d’une grande réussite pour notre équipe de Bomboré, qui a travaillé avec diligence pour achever l’ingénierie et la construction en moins de 17 mois, dans les délais et le budget impartis.
2026 s’annonce comme une année passionnante pour la société, car nous prévoyons d’atteindre une production d’or record dans un contexte de prix de l’or élevé. »
Elie KABORE
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